Campagne autour de Dijon et dans la vallée de la Vingeanne. Sauf mention contraire explicite, les photos publiées sur ce blog sont sous licence Creative Commons BY NC ND.
Quand les scilles fleurissent
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Les scilles à deux feuilles sont en pleine floraison, en attendant les coucous des bois et les anémones Sylvies.
Superbes ces photos : belles lumières, jolis flous d'arrière plan, belles nettetés... Et n'y a-t-il pas des pulmonaires déjà en fleur ? (pas forcément aux mêmes endroits).
Je n'ai pas encore vu de pulmonaire en fleurs, mais je n'ai pas eu le temps d'aller dans les zones les plus propices et je serais surpris qu'il n'y en ait pas déjà sur certains talus bien exposés.
Oui, les vues rapprochées sont flatteuses et pas faciles à faire. La 5 est le résultat de la superposition d'une douzaine de photos prises avec de légers décalages de la mise au point !
Une douzaine de photos assemblées : ce qu'on appelle en bon français le "focus stacking", avec des prises de vue au trépied, j'imagine ? Je ne m'y suis pas encore essayé dans la nature.
Je stabilise l'appareil en le posant sur un sac de haricots ou sur une de mes chaussures, une pierre, une branche... De légers changements de position entre deux prises de vues ne sont pas gênants car le logiciel de "stacking" (j'utilise Helicon Focus) est capable de superposer correctement les photos décalées. Le principal problème vient des mouvements du sujet photographié, que le logiciel ne peut pas corriger. Une fleur est un véritable capteur de vent. Elle oscille à la moindre brise. Et quand on fait de la macro photographie de fleurs, on s’aperçoit qu'il y a presque toujours du vent. Des retouches sont souvent nécessaires. Elles consistent à neutraliser les contributions de certaines prises de vues dans des zones localisées de l'image finale. C'est un processus assez long, et comme je dispose de peu de temps pour traiter mes images, il reste parfois quelques artefacts.
Je suis bien au courant des problèmes liés au vent et aux conditions de prise de vue parfois inconfortables car je pratique la proxiphotographie ou la macrophotographie floristique depuis assez longtemps. Merci pour les précisions au sujet du logiciel utilisé.
Merci. Pour moi, c'est la proximité dans le temps et dans l'espace qui donne une certaine valeur à ces images. Elle montrent la nature en ce moment et près de l'endroit où je vis :-).
Merci beaucoup de me faire découvrir les scilles, je ne connaissais pas ces fleurs raffinées ! Vos photos sont superbes de délicatesse ... Belle découverte !
Nous sommes au cœur du printemps. La nature exulte. Dans les villages, les arbres fleuris rivalisent de beauté et de simplicité. Regardez cette maison extraordinaire. La couleur du lilas fait écho à celle de la glycine, tandis qu'à l'extérieur, contre le muret et son petit banc de pierre, les troches de chélidoine et leur petites fleurs jaunes apportent une touche sauvage. J'ai souvent vu des photos de pays lointains, mais rarement quelque chose d'aussi harmonieux que cet équilibre respectueux entre la nature, les plantes sauvages, et les constructions et activités humaines. Il faut entretenir les villages, mais résister à la tentation de faire quelque chose de trop propre et sans âme. Laissez une petite part de désordre, de nature, dans votre cour et dans votre jardin.
Je suis ravis de voir aboutir un projet qui me tenait à cœur : construire un récepteur radio de manière complètement artisanale, sans aucun composant électronique, juste des bouts de bois, des plaques de métal, un peu de quincaillerie, du fil de cuivre, du papier sulfurisé, une aiguille à coudre et un cristal de galène. Ce récepteur fonctionne sans aucune source d'alimentation électrique. L'énergie restituée par l'écouteur provient exclusivement de l'antenne ! L'auteur du blog ravis d'avoir terminé son poste à galène. Permettez-moi de vous donner une petite explication de son fonctionnement. Laissez-vous guidez et vous découvrirez un univers fascinant, tout aussi beau et émouvant que les fleurs que je photographie d'habitude. Nous sommes constitué de matière et notre environnement est aussi constitué de matière, qu'elle soit à l'état solide, liquide ou gazeux. Mais les ondes radio n'ont pas besoin de matière pour se propager, bien a...
Superbes ces photos : belles lumières, jolis flous d'arrière plan, belles nettetés...
RépondreSupprimerEt n'y a-t-il pas des pulmonaires déjà en fleur ? (pas forcément aux mêmes endroits).
Je n'ai pas encore vu de pulmonaire en fleurs, mais je n'ai pas eu le temps d'aller dans les zones les plus propices et je serais surpris qu'il n'y en ait pas déjà sur certains talus bien exposés.
SupprimerEffectivement, leur floraison est "contemporaine" des primevères. Dans les monts du Lyonnais, on les appelait d'ailleurs des "coucous rouges".
SupprimerQue de douceurs printanières !!
RépondreSupprimerEt du bleu à en rêver...
Bonne journée
Ah oui, ce bleu est vraiment beau. J'adore le bleu :-).
Supprimergraciles et élégantes et si bien mises en valeur par le photographe !
RépondreSupprimerEt puis il y a tout une contexte qui ne se voit pas sur les photos, la douceur du temps, l’atmosphère d'un matin de printemps...
SupprimerLa 3 pour son petit filet lumineux et la 5 qui pourrait m'inspirer si j'étais peintre.
RépondreSupprimerTes photos sont de plus en plus perfectionnées.
Oui, les vues rapprochées sont flatteuses et pas faciles à faire. La 5 est le résultat de la superposition d'une douzaine de photos prises avec de légers décalages de la mise au point !
SupprimerUne douzaine de photos assemblées : ce qu'on appelle en bon français le "focus stacking", avec des prises de vue au trépied, j'imagine ? Je ne m'y suis pas encore essayé dans la nature.
SupprimerJe stabilise l'appareil en le posant sur un sac de haricots ou sur une de mes chaussures, une pierre, une branche... De légers changements de position entre deux prises de vues ne sont pas gênants car le logiciel de "stacking" (j'utilise Helicon Focus) est capable de superposer correctement les photos décalées. Le principal problème vient des mouvements du sujet photographié, que le logiciel ne peut pas corriger. Une fleur est un véritable capteur de vent. Elle oscille à la moindre brise. Et quand on fait de la macro photographie de fleurs, on s’aperçoit qu'il y a presque toujours du vent. Des retouches sont souvent nécessaires. Elles consistent à neutraliser les contributions de certaines prises de vues dans des zones localisées de l'image finale. C'est un processus assez long, et comme je dispose de peu de temps pour traiter mes images, il reste parfois quelques artefacts.
SupprimerJe suis bien au courant des problèmes liés au vent et aux conditions de prise de vue parfois inconfortables car je pratique la proxiphotographie ou la macrophotographie floristique depuis assez longtemps. Merci pour les précisions au sujet du logiciel utilisé.
SupprimerMagnifiques ! Superbe bleu.
RépondreSupprimerCette année, les fleurs sont particulièrement belles en raison d'une météo favorable :-).
SupprimerOn ne s'en lasse pas, et vos photos sont particulièrement réussies, je trouve, Olivier.
RépondreSupprimerMerci. Pour moi, c'est la proximité dans le temps et dans l'espace qui donne une certaine valeur à ces images. Elle montrent la nature en ce moment et près de l'endroit où je vis :-).
SupprimerMerci beaucoup de me faire découvrir les scilles, je ne connaissais pas ces fleurs raffinées !
RépondreSupprimerVos photos sont superbes de délicatesse ...
Belle découverte !