Quand les scilles fleurissent

Les scilles à deux feuilles sont en pleine floraison, en attendant les coucous des bois et les anémones Sylvies.



























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Commentaires

  1. Superbes ces photos : belles lumières, jolis flous d'arrière plan, belles nettetés...
    Et n'y a-t-il pas des pulmonaires déjà en fleur ? (pas forcément aux mêmes endroits).

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    1. Je n'ai pas encore vu de pulmonaire en fleurs, mais je n'ai pas eu le temps d'aller dans les zones les plus propices et je serais surpris qu'il n'y en ait pas déjà sur certains talus bien exposés.

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    2. Effectivement, leur floraison est "contemporaine" des primevères. Dans les monts du Lyonnais, on les appelait d'ailleurs des "coucous rouges".

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  2. Que de douceurs printanières !!
    Et du bleu à en rêver...

    Bonne journée

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    1. Ah oui, ce bleu est vraiment beau. J'adore le bleu :-).

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  3. graciles et élégantes et si bien mises en valeur par le photographe !

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    1. Et puis il y a tout une contexte qui ne se voit pas sur les photos, la douceur du temps, l’atmosphère d'un matin de printemps...

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  4. La 3 pour son petit filet lumineux et la 5 qui pourrait m'inspirer si j'étais peintre.
    Tes photos sont de plus en plus perfectionnées.

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    1. Oui, les vues rapprochées sont flatteuses et pas faciles à faire. La 5 est le résultat de la superposition d'une douzaine de photos prises avec de légers décalages de la mise au point !

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    2. Une douzaine de photos assemblées : ce qu'on appelle en bon français le "focus stacking", avec des prises de vue au trépied, j'imagine ? Je ne m'y suis pas encore essayé dans la nature.

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    3. Je stabilise l'appareil en le posant sur un sac de haricots ou sur une de mes chaussures, une pierre, une branche... De légers changements de position entre deux prises de vues ne sont pas gênants car le logiciel de "stacking" (j'utilise Helicon Focus) est capable de superposer correctement les photos décalées. Le principal problème vient des mouvements du sujet photographié, que le logiciel ne peut pas corriger. Une fleur est un véritable capteur de vent. Elle oscille à la moindre brise. Et quand on fait de la macro photographie de fleurs, on s’aperçoit qu'il y a presque toujours du vent. Des retouches sont souvent nécessaires. Elles consistent à neutraliser les contributions de certaines prises de vues dans des zones localisées de l'image finale. C'est un processus assez long, et comme je dispose de peu de temps pour traiter mes images, il reste parfois quelques artefacts.

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    4. Je suis bien au courant des problèmes liés au vent et aux conditions de prise de vue parfois inconfortables car je pratique la proxiphotographie ou la macrophotographie floristique depuis assez longtemps. Merci pour les précisions au sujet du logiciel utilisé.

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  5. Réponses
    1. Cette année, les fleurs sont particulièrement belles en raison d'une météo favorable :-).

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  6. On ne s'en lasse pas, et vos photos sont particulièrement réussies, je trouve, Olivier.

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    1. Merci. Pour moi, c'est la proximité dans le temps et dans l'espace qui donne une certaine valeur à ces images. Elle montrent la nature en ce moment et près de l'endroit où je vis :-).

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  7. Merci beaucoup de me faire découvrir les scilles, je ne connaissais pas ces fleurs raffinées !
    Vos photos sont superbes de délicatesse ...
    Belle découverte !

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