Campagne autour de Dijon et dans la vallée de la Vingeanne. Sauf mention contraire explicite, les photos publiées sur ce blog sont sous licence Creative Commons BY NC ND.
Zone humide
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Ces photographies n'ont pas un rendu exceptionnel dans le format du blog, mais je n'ai pas mieux pour restituer la luxuriance de la végétation dans cette zone humide où j'aime me promener au fil des saisons.
Je trouve personnellement que ces photos permettent bien de distinguer deux communautés végétales riveraines de ce ruisseau : - une végétation davantage amphibie et plus petite à Myosotis des marais et/ou Myosotis gazonnant ; - une mégaphorbiaie présentant plusieurs faciès à Massette à larges feuilles ou à Liseron des haies et à laquelle participent la Salicaire commune, la Menthe aquatique, la Baldingère et au moins une espèce de laîche (je ne puis dire laquelle ou lesquelles).
D'autres communautés végétales les jouxtent et les ralayent : un roncier probablement à Ronce bleuâtre, une salaie arbustive fragmentaire peut-être à Saule à trois étamines. Bon, je ne parle pas de ce que je ne vois pas.
Vous avez un sacré coup d’œil car même en agrandissant les photos, elles restent en basse résolution et l'arrière-plan est flou. Sur les Salicaires, il y a plein de papillons blancs. C'est un lieu merveilleux, mais à quelques mètres d'un immense champ cultivé en agriculture intensive...
Un coup d’œil, probablement, mais peut-être pas celui que l'on croit : je reconnais ces communautés végétales (assez simples d'ailleurs) par leur physiographie, leur écologie et leur composition floristique.
Bien vert , rafraîchissant et odorant je suppose. J'aime bien le gros plan sur la une. Ce sont bien des buddleias , les arbustes fleurs roses ou "arbres à papillon" ?
La neige fond, l'herbe réapparait. En montagne, le phénomène se produit au printemps après de long mois d'hiver. Mais en plaine et dans les collines, la neige arrive et repart en deux ou trois jours.
Ce blog Ruralité existe depuis plus de 12 ans. Le premier article (pas terrible) a été publié le 18 octobre 2008, dans la continuité d'un blog aujourd'hui disparu. À l'époque, le mot "ruralité" était presque inconnu en France. Une recherche sur Google avec ce mot donnait moins d'une dizaine de résultats, dont certains Québécois. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai pu réserver ce nom de domaine. Aujourd'hui, la même recherche produit près de deux millions de résultats. Le mot "ruralité" est au centre de débats politiques. C'est une des raisons qui me conduisent à changer le nom et le domaine de mon nouveau blog. Une autre raison est que Google va supprimer le système de notification par email permettant aux personnes abonnées d'être averties de la publication de nouveaux billets. Il y aussi un problème d'ergonomie coté administrateur qui rend la rédaction de nouveaux billets peu pratique. Mais rassurez-vous, le bl...
Je trouve personnellement que ces photos permettent bien de distinguer deux communautés végétales riveraines de ce ruisseau :
RépondreSupprimer- une végétation davantage amphibie et plus petite à Myosotis des marais et/ou Myosotis gazonnant ;
- une mégaphorbiaie présentant plusieurs faciès à Massette à larges feuilles ou à Liseron des haies et à laquelle participent la Salicaire commune, la Menthe aquatique, la Baldingère et au moins une espèce de laîche (je ne puis dire laquelle ou lesquelles).
D'autres communautés végétales les jouxtent et les ralayent : un roncier probablement à Ronce bleuâtre, une salaie arbustive fragmentaire peut-être à Saule à trois étamines.
Bon, je ne parle pas de ce que je ne vois pas.
Vous avez un sacré coup d’œil car même en agrandissant les photos, elles restent en basse résolution et l'arrière-plan est flou. Sur les Salicaires, il y a plein de papillons blancs. C'est un lieu merveilleux, mais à quelques mètres d'un immense champ cultivé en agriculture intensive...
SupprimerUn coup d’œil, probablement, mais peut-être pas celui que l'on croit : je reconnais ces communautés végétales (assez simples d'ailleurs) par leur physiographie, leur écologie et leur composition floristique.
SupprimerBien vert , rafraîchissant et odorant je suppose.
RépondreSupprimerJ'aime bien le gros plan sur la une.
Ce sont bien des buddleias , les arbustes fleurs roses ou "arbres à papillon" ?
Non Henriette, des salicaires.
SupprimerIl est vrai qu'elles attirent aussi les papillons !
SupprimerOn voit que la pluie à fait repartir la végétation, c'est bien agréable de s'y promener et merci de nous le faire partager par tes photos.
RépondreSupprimerDans cet endroit, il y a toujours à minima un filet d'eau, donc ça reste vert en plein été :-).
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