Campagne autour de Dijon et dans la vallée de la Vingeanne. Sauf mention contraire explicite, les photos publiées sur ce blog sont sous licence Creative Commons BY NC ND.
Zone humide
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Ces photographies n'ont pas un rendu exceptionnel dans le format du blog, mais je n'ai pas mieux pour restituer la luxuriance de la végétation dans cette zone humide où j'aime me promener au fil des saisons.
Je trouve personnellement que ces photos permettent bien de distinguer deux communautés végétales riveraines de ce ruisseau : - une végétation davantage amphibie et plus petite à Myosotis des marais et/ou Myosotis gazonnant ; - une mégaphorbiaie présentant plusieurs faciès à Massette à larges feuilles ou à Liseron des haies et à laquelle participent la Salicaire commune, la Menthe aquatique, la Baldingère et au moins une espèce de laîche (je ne puis dire laquelle ou lesquelles).
D'autres communautés végétales les jouxtent et les ralayent : un roncier probablement à Ronce bleuâtre, une salaie arbustive fragmentaire peut-être à Saule à trois étamines. Bon, je ne parle pas de ce que je ne vois pas.
Vous avez un sacré coup d’œil car même en agrandissant les photos, elles restent en basse résolution et l'arrière-plan est flou. Sur les Salicaires, il y a plein de papillons blancs. C'est un lieu merveilleux, mais à quelques mètres d'un immense champ cultivé en agriculture intensive...
Un coup d’œil, probablement, mais peut-être pas celui que l'on croit : je reconnais ces communautés végétales (assez simples d'ailleurs) par leur physiographie, leur écologie et leur composition floristique.
Bien vert , rafraîchissant et odorant je suppose. J'aime bien le gros plan sur la une. Ce sont bien des buddleias , les arbustes fleurs roses ou "arbres à papillon" ?
Nous sommes au cœur du printemps. La nature exulte. Dans les villages, les arbres fleuris rivalisent de beauté et de simplicité. Regardez cette maison extraordinaire. La couleur du lilas fait écho à celle de la glycine, tandis qu'à l'extérieur, contre le muret et son petit banc de pierre, les troches de chélidoine et leur petites fleurs jaunes apportent une touche sauvage. J'ai souvent vu des photos de pays lointains, mais rarement quelque chose d'aussi harmonieux que cet équilibre respectueux entre la nature, les plantes sauvages, et les constructions et activités humaines. Il faut entretenir les villages, mais résister à la tentation de faire quelque chose de trop propre et sans âme. Laissez une petite part de désordre, de nature, dans votre cour et dans votre jardin.
Je suis ravis de voir aboutir un projet qui me tenait à cœur : construire un récepteur radio de manière complètement artisanale, sans aucun composant électronique, juste des bouts de bois, des plaques de métal, un peu de quincaillerie, du fil de cuivre, du papier sulfurisé, une aiguille à coudre et un cristal de galène. Ce récepteur fonctionne sans aucune source d'alimentation électrique. L'énergie restituée par l'écouteur provient exclusivement de l'antenne ! L'auteur du blog ravis d'avoir terminé son poste à galène. Permettez-moi de vous donner une petite explication de son fonctionnement. Laissez-vous guidez et vous découvrirez un univers fascinant, tout aussi beau et émouvant que les fleurs que je photographie d'habitude. Nous sommes constitué de matière et notre environnement est aussi constitué de matière, qu'elle soit à l'état solide, liquide ou gazeux. Mais les ondes radio n'ont pas besoin de matière pour se propager, bien a...
Je trouve personnellement que ces photos permettent bien de distinguer deux communautés végétales riveraines de ce ruisseau :
RépondreSupprimer- une végétation davantage amphibie et plus petite à Myosotis des marais et/ou Myosotis gazonnant ;
- une mégaphorbiaie présentant plusieurs faciès à Massette à larges feuilles ou à Liseron des haies et à laquelle participent la Salicaire commune, la Menthe aquatique, la Baldingère et au moins une espèce de laîche (je ne puis dire laquelle ou lesquelles).
D'autres communautés végétales les jouxtent et les ralayent : un roncier probablement à Ronce bleuâtre, une salaie arbustive fragmentaire peut-être à Saule à trois étamines.
Bon, je ne parle pas de ce que je ne vois pas.
Vous avez un sacré coup d’œil car même en agrandissant les photos, elles restent en basse résolution et l'arrière-plan est flou. Sur les Salicaires, il y a plein de papillons blancs. C'est un lieu merveilleux, mais à quelques mètres d'un immense champ cultivé en agriculture intensive...
SupprimerUn coup d’œil, probablement, mais peut-être pas celui que l'on croit : je reconnais ces communautés végétales (assez simples d'ailleurs) par leur physiographie, leur écologie et leur composition floristique.
SupprimerBien vert , rafraîchissant et odorant je suppose.
RépondreSupprimerJ'aime bien le gros plan sur la une.
Ce sont bien des buddleias , les arbustes fleurs roses ou "arbres à papillon" ?
Non Henriette, des salicaires.
SupprimerIl est vrai qu'elles attirent aussi les papillons !
SupprimerOn voit que la pluie à fait repartir la végétation, c'est bien agréable de s'y promener et merci de nous le faire partager par tes photos.
RépondreSupprimerDans cet endroit, il y a toujours à minima un filet d'eau, donc ça reste vert en plein été :-).
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